La Fondation Panzi aide les victimes congolaises de violences sexuelles à obtenir la guérison, la justice, la communauté et l'avenir qu'elles méritent.


en RDC,
LE VIOL EST UNE TACTIQUE DE GUERRE DÉLIBÉRÉE.
ENSEMBLE, NOUS FAISONS PRESSION.
D'innombrables femmes et jeunes filles congolaises sont victimes de violences sexuelles chaque jour en RDC, une tragédie aggravée par le conflit en cours.
Mais depuis plus de 25 ans, Panzi ne se contente pas de réparer les corps des survivantes et de mettre au monde leurs bébés - nous les soutenons alors qu'elles reprennent courageusement leur vie en main, contre toute attente.
ENSEMBLE, NOUS FAISONS PRESSION.
D'innombrables femmes et jeunes filles sont victimes de violences sexuelles chaque jour au Congo, une tragédie aggravée par le conflit en cours.
Mais depuis plus de 25 ans, Panzi ne se contente pas de réparer les corps des survivantes et de mettre au monde leurs bébés - nous les soutenons alors qu'elles reprennent courageusement leur vie en main, contre toute attente.
Après les violences sexuelles, je ne me sentais plus la même personne. J'ai cru que j'allais mourir. J'avais l'impression de ne pas savoir comment décrire ce que je ressentais. Je ne me comprenais même pas moi-même...
Après les violences sexuelles, je ne me sentais plus la même personne. J'ai cru que j'allais mourir. J'avais l'impression de ne pas savoir comment décrire ce que je ressentais. Je ne me comprenais même pas moi-même...
Après les violences sexuelles, je ne me sentais plus la même personne. J'ai cru que j'allais mourir. J'avais l'impression de ne pas savoir comment décrire ce que je ressentais. Je ne me comprenais même pas moi-même...
NOTRE IMPACT DEPUIS 1999
La raison d'être de l'hôpital et de la fondation Panzi est de réduire la prévalence et l'impact des violences sexuelles et sexistes grâce à des soins holistiques et à une action de proximité, afin de promouvoir un avenir plus équitable et plus digne pour tous.

plus de chances de survie pour
accouchant dans un établissement Panzi par rapport à la moyenne nationale

survivants traités dans tous les programmes de l'hôpital et de la fondation de Panzi depuis 1999

chirurgies pour les femmes souffrant de lésions gynécologiques complexes depuis plus de 25 ans
quelle que soit la difficulté et le désespoir de la situation, avec de la détermination, il y a toujours de l'espoir au bout du tunnel.
Soins holistiques
Le modèle Panzi est un modèle de guérison holistique à quatre piliers de renommée mondiale qui vise à répondre à l'ensemble des besoins des victimes de violences sexuelles.
Soins holistiques
Le modèle Panzi est un modèle de guérison holistique à quatre piliers de renommée mondiale qui vise à répondre à l'ensemble des besoins des victimes de violences sexuelles.
Dernières nouvelles

Appel du Dr Denis Mukwege : "Arrêtez les massacres des Congolais, la paix est possible".
Le bilan macabre des récents combats entre l'armée congolaise et les forces armées rwandaises et leurs supplétifs du M23 dans la ville de Goma se dessine peu à peu. Selon le rapport de l'Organisation Mondiale de la Santé, au 31 janvier 2025, 773 corps sans vie ont été dénombrés et d'autres jonchent encore les avenues dans un état de décomposition avancé. A ces décès s'ajoutent environ 3 000 blessés, sans assistance suffisante et efficace.
Cette horrible boucherie humaine s'ajoute aux statistiques de plus de six millions d'hommes, de femmes et d'enfants tués en trois décennies dans ces guerres sans fin imposées au peuple congolais.
Une fois de plus, la communauté internationale ne dira pas qu'elle ne savait pas. Depuis des années, les rapports de l'ONU soulignent la responsabilité du Rwanda dans l'organisation et la conduite de ces guerres, mais à ce jour, rien de significatif n'a été fait pour mettre fin à ces graves violations du droit international et humanitaire. Au contraire, l'Union européenne et plusieurs pays occidentaux ont maintenu leur coopération avec le Rwanda et continuent à financer indirectement, à coup de millions de dollars, ses expéditions guerrières et meurtrières en RD Congo ainsi que le pillage de ses ressources minières.
Depuis des décennies et encore ces dernières semaines, je n'ai cessé d'alerter et de mobiliser l'opinion internationale sur l'urgence d'imposer la paix en RD Congo et dans la région des Grands Lacs africains, mais en vain. Comparée à l'intervention de l'Occident dans la guerre en Ukraine, celle du Congo est une guerre négligée et les vies congolaises n'ont objectivement pas assez de valeur pour mériter l'attention.
C'est la politique du double standard et de l'humanisme à deux vitesses que nous avons décriée et dénoncée à plusieurs reprises.
Pourtant, des solutions existent pour enrayer définitivement cette catastrophe.
Tout d'abord, il est urgent de réduire l'aide militaire et financière au Rwanda et d'imposer des sanctions économiques.
Ensuite, l'Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération en RDC et dans la région, connu sous le nom d'Accord-cadre d'Addis-Abeba, signé le 24 février 2013 par 11 pays (RD Congo, Rwanda, Burundi, Ouganda, Angola, Tanzanie, Zambie, Soudan du Sud, République centrafricaine) rejoints par le Kenya et le Soudan le 31 janvier 2014 ainsi que par l'ONU, l'Union africaine, la CIRGL, la SADC et parrainé par l'Union européenne, les États-Unis, le Royaume-Uni, la Belgique et la France, avait déjà tracé la voie d'une paix juste et durable dans la sous-région des Grands Lacs africains. Il est plus qu'urgent de mettre en œuvre ses recommandations.
Enfin, l'exploitation des ressources naturelles étant le véritable nœud du problème, je suis depuis des semaines et en ce moment même en Europe pour sensibiliser les gouvernements, les institutions internationales, les entreprises et les organisations de la société civile à l'importance d'un approvisionnement légal, pacifique et gagnant-gagnant de ces ressources dans la perspective d'un " Business for Peace " qui promeut l'intérêt durable du peuple congolais en même temps que celui des entreprises désireuses de disposer des matières premières stratégiques dont regorge le sous-sol congolais. C'est pourquoi, en réponse et en appui à l'initiative du Pacte de Paix des Eglises Catholique et Protestante du Congo (CENCO-ECC), je renouvelle mon appel à l'organisation d'une " Conférence Internationale sur la Paix Durable en RD Congo et dans la Région des Grands Lacs Africains ".
Je condamne fermement cette nouvelle attaque du Rwanda-M23 et les massacres qui ont suivi,
Je condamne fermement le silence complice et l'inaction de la communauté internationale face aux graves violations des droits de l'homme et des droits humanitaires commises en République démocratique du Congo,
J'appelle le peuple congolais à s'unir autour de la paix à travers les initiatives de la CENCO-ECC et d'une conférence internationale sur la paix,
J'exprime ma compassion aux populations du Nord-Kivu et de Goma dans la douloureuse épreuve qu'elles traversent,
J'adresse mes plus sincères condoléances aux familles de nos soldats tombés au combat et à tous ceux qui ont perdu un être cher dans cette guerre,
J'exprime tout mon soutien aux populations du Sud-Kivu et de Bukavu qui vivent dans la peur, hantées par le spectre d'une guerre qui se rapproche dangereusement.
Je m'engage à poursuivre sans relâche mon plaidoyer national et international en faveur de la paix en République démocratique du Congo et dans la région des Grands Lacs africains.
Tenez bon mes chers compatriotes, DIEU EST POUR NOUS.
Oslo, le 2 février 2025
Dr. Denis Mukwege

Déclaration suite à la publication de la lettre du 27 décembre 2024 adressée à la présidence du Conseil de sécurité par le groupe d'experts de la République démocratique du Congo
C'est avec une grande inquiétude que j'ai pris connaissance du dernier rapport du Groupe d'experts des Nations Unies sur la République Démocratique du Congo. Malgré l'accord de trêve humanitaire et de cessez-le-feu, le régime de Kigali continue de bafouer le droit international et de poursuivre sa politique d'expansion territoriale avec ses auxiliaires de la coalition AFC/M23 soutenus et contrôlés par 3.000 à 4.000 éléments des FDR. En violation flagrante de l'intégrité territoriale et de la souveraineté congolaise, ces troupes utilisent des équipements militaires sophistiqués et des armes de haute technologie dans les territoires de Nyiragongo, Rutshuru et Masisi, dans la province du Nord-Kivu.
La guerre d'occupation et d'agression prend progressivement l'allure d'une annexion par des forces étrangères, avec la mise en place d'une administration parallèle, semblable à celle d'un Etat. Elle contrôle les territoires conquis, en particulier la région de Rubaya, dont les mines constituent l'une des plus grandes sources de coltan au monde.
Les experts mandatés par le Conseil de sécurité ont rapporté, preuves à l'appui, que la coalition AFC/M23 exerce un monopole sur l'extraction frauduleuse, le commerce et l'exportation illégale de minerais de Rubaya vers le Rwanda. Il s'agit de la contamination la plus importante des chaînes d'approvisionnement en minerais "3T" (étain, tantale et tungstène) enregistrée dans la région des Grands Lacs au cours des dix dernières années.
Les experts estiment que la coalition AFC/M23 contrôle le commerce et le transport d'environ 120 tonnes de coltan par mois et que la taxe sur la production et le commerce du coltan de Rubaya génère au moins 800 000 USD par mois pour les forces d'occupation.
Face à la situation critique qui prévaut dans l'Est de la RDC, nous exhortons une fois de plus la communauté des Etats à ne plus accepter les condamnations superficielles et les paroles creuses. Des sanctions fortes doivent être adoptées contre les acteurs de la déstabilisation. Des mesures immédiates et décisives doivent être prises pour que le Rwanda cesse son soutien au M23 et retire immédiatement ses forces du sol congolais.
Il est temps de mettre fin à cette guerre économique et à l'extraction et au commerce illégaux de minerais stratégiques au cœur de l'Afrique si le monde économiquement développé veut poursuivre la transition énergétique et la lutte contre le changement climatique de manière propre et équitable.
Bukavu, 01/09/2025
Dr. Denis Mukwege

Message de soutien du Dr. Mukwege à l'Appel de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) et de la Présidence de l'Eglise du Christ au Congo (ECC) pour le "Pacte Social pour la Paix et le Bien Vivre Ensemble en RD Congo et dans les Grands Lacs".
31 décembre 2024
Au cours des trois dernières décennies, le peuple congolais a enduré une violence et une instabilité chroniques qui ont conduit à une tragédie profonde et à des souffrances qui dépassent l'entendement.
La République démocratique du Congo (RDC) a été victime de guerres d'agression répétées et de violations systématiques du droit international humanitaire et des droits de l'homme, ce qui a donné lieu au conflit le plus meurtrier depuis la Seconde Guerre mondiale et à l'une des crises humanitaires et de déplacement les plus graves des temps modernes, avec un quart de la population confrontée à la faim et plus de 7 millions de personnes déplacées à l'intérieur du pays, dont la majorité sont des femmes et des enfants.
L'économie politique de la guerre est profondément liée à l'exploitation illégale et à la contrebande des ressources naturelles congolaises par les pays voisins, ainsi qu'aux bandes criminelles qui déstabilisent les provinces de l'est et du nord-est du pays en tant que "mandataires" de certaines grandes puissances et de diverses multinationales.
Les accords de paix et les différentes tentatives de solutions politiques, de Lusaka à Sun City en passant par Goma, ont systématiquement sacrifié la justice sur l'autel de la paix. Ils ont prolongé et aggravé l'instabilité en intégrant des éléments de groupes armés congolais et étrangers dans les forces de sécurité et de défense nationales. En outre, ces politiques ont non seulement permis aux ennemis de la paix d'infiltrer nos institutions, mais elles ont également ancré l'indiscipline dans l'armée et la police, et légitimé la violence armée en accordant des amnisties et même des promotions à ceux qui devraient répondre de leurs crimes devant la justice nationale et internationale.
Dans ce contexte, le conflit armé n'a jamais cessé et plus de 100 groupes armés nationaux et étrangers continuent d'opérer en toute impunité, alimentant la répétition d'atrocités de masse, tandis que les autorités de la RDC n'ont pas réussi à établir l'autorité de l'État sur une grande partie de son territoire.
La dégradation de la situation sécuritaire et l'aggravation de la crise humanitaire depuis 2021 suite à la résurgence du groupe armé M23 soutenu par le Rwanda et l'Ouganda constituent une menace existentielle pour la RDC, alors que de larges pans du Nord-Kivu sont administrés par des forces d'occupation. Elle risque également de provoquer une conflagration dans la sous-région des Grands Lacs africains. Elle menace la paix et la sécurité régionales et internationales à un moment où la MONUSCO a commencé à se retirer du pays et malgré le déploiement de forces de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).
Comme tous les peuples, les Congolais ont droit à la paix et à la justice. Trop de sang congolais a été versé, mais l'escalade du conflit et l'effroyable situation des droits de l'homme restent largement oubliées, et la crise humanitaire qui en résulte est caractérisée par la négligence et le sous-financement de la communauté internationale, ce qui entraîne des souffrances humaines à grande échelle et une dépréciation inquiétante de la valeur de la vie humaine.
Les initiatives diplomatiques actuelles visant à apaiser les tensions et à trouver une solution politique au conflit (connues sous le nom de processus de Nairobi et de Luanda, sous les auspices de la Communauté de l'Afrique de l'Est et de l'Union africaine respectivement) sont dans l'impasse. La communauté des donateurs ne parvient pas à apporter une réponse efficace aux besoins humanitaires urgents des plus vulnérables.
Il est temps d'appeler à une action politique et diplomatique forte et à une coordination multilatérale, impliquant le secteur privé et la société civile, pour faire taire les armes et cesser de fermer les yeux sur la catastrophe humanitaire qui se déroule dans l'est de la RDC.
Nous appelons donc à la revitalisation de l'Accord-cadre d'Addis-Abeba pour la paix, la sécurité et la coopération, signé en 2013. Cet accord, qualifié d'Accord de l'espoir parce qu'il a été le premier à "s'attaquer aux causes profondes du conflit et à mettre fin aux cycles récurrents de violence" dans l'est de la RDC et dans la région des Grands Lacs africains, avec divers États et institutions comme co-garants, dont l'Union africaine, l'Union européenne, la Belgique, les États-Unis d'Amérique, la France et le Royaume-Uni et le soutien notamment des Nations unies, et la Banque mondiale, dans le cadre de la consolidation d'une stratégie pour la paix et le développement.
Nous réitérons également notre appel à l'organisation d'un Sommet international pour la paix en RDC en 2025. L'objectif principal de ce sommet est de placer ce conflit oublié et cette crise négligée en tête de l'agenda de la communauté internationale en fournissant une plateforme de haut niveau pour le dialogue et l'échange de vues avec les acteurs étatiques et non étatiques afin de parvenir à une paix globale, juste et durable en RDC.
Les acteurs étatiques invités seront les chefs d'État et de gouvernement de la RDC et des pays membres de la CIRGL, notamment les signataires de l'accord-cadre d'Addis-Abeba, les représentants des gouvernements membres du Groupe de contact international pour la région des Grands Lacs, les représentants des pays des organisations et institutions garantes de l'accord-cadre (Envoyé spécial des Nations unies, Union africaine, Conférence internationale sur la région des Grands Lacs et Communauté de développement de l'Afrique australe), les représentants des programmes et agences des Nations unies, de la Banque mondiale et des bailleurs de fonds. En outre, compte tenu de la dimension économique du conflit, les acteurs du secteur privé et les entreprises actives dans le secteur minier seront également invités à faire partie de la solution.
En effet, face à la croissance accélérée et spectaculaire de la demande en minerais essentiels à la transition énergétique, qui va exacerber les tensions géopolitiques et mettre la RDC sous une pression croissante pour fournir ses ressources stratégiques afin d'enrayer la crise climatique et de faire progresser la transition mondiale vers les énergies renouvelables, cette transition énergétique dite "verte" offre une opportunité unique de promouvoir la paix à travers l'approche "Business For Peace". Cette approche change le paradigme actuel d'une économie de guerre basée sur l'extraction et le commerce illégaux des minerais de conflit, en les transformant en un outil de coprospérité, de codéveloppement et de paix.
Nous sommes convaincus que, grâce à l'approche "Business for Peace", les entreprises mondiales de haute technologie, dont certaines s'approvisionnent, directement ou indirectement, en minerais issus du pillage des ressources naturelles de la RDC, auraient tout intérêt à s'impliquer dans la promotion de la construction d'une paix durable en RDC, afin d'accéder directement à ces mêmes ressources, sans intermédiaire, de manière rentable, durable, sûre et éthique, sans se compromettre, sciemment ou non, avec l'exploitation criminelle des "minerais de sang".
En veillant à ce que leur chaîne d'approvisionnement soit propre et respectueuse des droits de l'homme, ces entreprises peuvent contribuer à mettre un terme au trafic criminel des ressources naturelles de la RDC, qui alimente des guerres sans fin et décime des millions d'hommes, de femmes et d'enfants. En promouvant un cadre mondial de traçabilité, de transparence et de responsabilité sociale, elles peuvent contribuer à faire progresser la justice, l'équité, le développement local et la paix durable.
Enfin, la RDC est devenue un obstacle au développement de l'Afrique subsaharienne. Le concept "Business for Peace" permettra aux pays de la CIRGL et aux autres pays africains de développer le commerce avec la RDC et les autres pays africains à travers la RDC, qui est aujourd'hui un obstacle au commerce transafricain en raison de l'insécurité persistante au centre de l'Afrique.
Les résultats attendus du sommet sont les suivants :
1. Exprimer la solidarité et le soutien à la population civile congolaise et lancer un appel urgent pour répondre aux besoins humanitaires des groupes vulnérables et des personnes déplacées.
2. Galvaniser la volonté politique nationale et internationale et créer une dynamique pour mettre fin à la violence en jetant les bases d'une paix durable, conformément au droit international, à la charte des Nations unies et aux engagements pris dans le cadre de l'accord-cadre d'Addis-Abeba.
3. Développer des partenariats gagnant-gagnant et donner aux entreprises de haute technologie, d'exploitation minière et de raffinage les moyens de promouvoir une exploitation minière et un commerce responsables en vue d'une transition énergétique juste et durable et de pratiques commerciales propices à la paix, au développement social et économique et à la protection des droits de l'homme et de l'environnement.
4. Encourager le gouvernement congolais à améliorer le climat des affaires, à promouvoir la bonne gouvernance et à mettre en œuvre des réformes institutionnelles et du secteur de la sécurité conformément aux accords-cadres d'Addis-Abeba.
Pour toutes ces raisons, nous joignons notre voix à celle de la Conférence Episcopale Nationale du Congo (CENCO) et de la Présidence de l'Eglise du Christ au Congo (ECC) pour nous approprier la feuille de route du " Pacte Social pour la Paix et le Bien Vivre Ensemble en RD Congo et dans les Grands Lacs ", et invitons tous les Congolais à s'approprier, à leur tour, cette initiative, car en cette année 2025 du Jubilé du Seigneur Jésus-Christ, " Notre priorité, c'est la paix " !
Denis Mukwege,
Prix Nobel de la Paix 2018