El equipo de apoyo de Panzi desplegado en Goma el 20 de julio ha continuado su misión hacia el Norte para prestar asistencia a 1375 familias desplazadas en el territorio de Beni.
El pasado 30 de julio, la Fundación Panzi lanzó una operación de ayuda a los desplazados por las masacres de las Fuerzas Democráticas Aliadas (ADF), grupo terrorista especialmente activo en el territorio de Beni, al norte de Kivu. Après un appui d'urgence aux déplacé.e.s de Goma, fuyant la rébellion du Mouvement du 23 Mars (M23) dans les territoires de Rutshuru et Nyiragongo, l'intervention à Beni est la seconde du genre dans la province du Nord-Kivu au courant de ce mois du juillet.
Históricamente conocida como un floreciente centro comercial, Beni se ha convertido en el bastión privilegiado de movimientos terroristas que han originado numerosas masacres. Tras la retirada de varios grupos rebeldes nacionales que seguían actuando en Beni, el grupo terrorista ADF sigue siendo una fuente de preocupación para la población civil.
Desde 2014, las ADF han intensificado su actividad. Según la jefa de sector de Mbau, Lumande Paluku Remis, "en 2010 cambiaron las exigencias de las ADF, y en 2014 cambió su estrategia. A partir du 2 octobre 2014, ils ont commencé à égorger. La primera persona se encontraba en la aldea de Mukoko, a pocos kilómetros de Oïha, en el sector de Beni/Mbau. Et depuis, cette situation continue jusqu'aujourd'hui. ". Además, las ADF han masacrado a miles de personas en distintas aldeas, destruyendo a su paso viviendas, hospitales, iglesias y escuelas. Los rescatados han tenido que refugiarse en casas de acogida en la ciudad de Beni, donde son incapaces de realizar actividades agrícolas y sufren inseguridad alimentaria.
" La guerre est venue nous détruire dans notre milieu, la forêt. Elle est venue avec des tueries contre nous, pygmées, et contre les bantous. On n'avait pas la force pour se défendre. Nous vivons présentement dans le village, car on nous a délogé de notre lieu de vie naturel. Nous sommes maintenant dans le village et n'avons pas de quoi manger. Je demande aux autorités supérieures de continuer à nous soutenir dans nos besoins comme déplacés. Je demande aussi la paix car nous avons vécu chez nous dans nos champs sans problème'', témoigne Catherine, bénéficiaire de l'intervention de Panzi.
La Fondation Panzi a fourni des vivres et de l'assistance à 1175 familles ayant trouvé refuge à Beni Ville et 200 à Oïcha. Si Beni-Ville garantiza un mínimo de seguridad a la población siniestrada, Oïcha sigue siendo blanco de ataques terroristas permanentes.
Esta intervención da prioridad a la salud de las mujeres y las niñas y a la seguridad alimentaria de las personas desplazadas. 1375 familles ont reçu chacune un lot de vivres constitué de 25kg de farine de maïs, 25kg de riz, 12,5kg de haricots, 7 sachets de sel et 5 litres d'huile végétale et un kit hygiénique constitué d'un paquet de serviettes hygiéniques, 1 jet de pagne, 1 paire de babouches, 4 sous-vêtements féminins et une boite de dentifrice avec brosse à dents.
Su necesidad primordial sigue siendo el restablecimiento de la paz y el acceso a la justicia.
Cette intervention est appuyée par Caritas Italie, avec une contribution de l'AMADE,